Depuis 2006 les Éditions Terre en Vue se sont imposées dans le domaine des beaux-arts avec des ouvrages de référence. D’abord spécialisées dans les rapports de la peinture avec la Normandie, elles étendent maintenant leur champ au domaine national pour les périodes des XIXe et XXe siècles.
La particularité : un auteur, libre de sa pensée et de son ton. Une égale importance consacrée au texte et à l’iconographie.
Autres sujets traités : L’histoire et la représentation des bains de mer, histoire des clubs de tennis et collection sur la Bénédictine.
En 2023, publication d’un premier roman : « Chien-Caillou ou l’art de rien ». Une histoire d’hommes libres avec la peinture pour réunir ces personnages peu ordinaires.
Le catalogue, riche d’une soixantaine d’ouvrages, s’augmente dorénavant d’une dizaine de titres par an.
« Monographies citadines » et « Connaissez-vous ? »
Les éditions Terre en vue se sont lancées dans l’édition de livres d’art à petit prix avec les collections « Monographies citadines » selon le principe : un peintre-une ville, faisant suite logique à la collection « Le Tour de France de la peinture » ; et la nouvelle collection « Connaissez-vous ? » dont chaque ouvrage est consacré à un auteur. Enfin, en 2020, la nouvelle collection « Humeurs picturales » reprend le principe du « Tour de France de la peinture » mais dans une version synthétisée. Rouen et Fécamp sont les deux premières villes traitées.
Livres à la mise en pages soignée et à l’iconographie de qualité qui se targuent d’offrir à chaque fois un vrai texte d’historien, quelquefois et même le plus souvent d’humeur, libre de toute école et institution.
Le principe de ces deux collections est de soulever les problèmes esthétiques en pariant sur l’intelligence du lecteur pour lui donner envie, muni des clés essentielles, d’approfondir le sujet.
Histoire du loup
Denis Abrard, à la philosophie plus libertaire que catholique, et surtout un pote de tous les gamins du quartier.
Son loup est à son image, avec autant de gentillesse. Il me semble nécessaire, d’offrir aux enfants ce personnage si peu politiquement correct mais si tendre avec ses p’tites copines les trois souris, et qui, en fin de compte, a la pureté qu’auraient tous les enfants si on cessait de vouloir qu’ils nous ressemblent.